Ils parlent de nous : les prescripteurs de chantiers sous le charme de la solution Myral
Ils imaginent, inspirent et conçoivent les bâtiments… Prescripteurs clés, les architectes sont à la manœuvre pour élaborer des projets de performance énergétique. Un travail minutieux pour la construction et la réhabilitation qui permet de transformer les idées en réalité. C’est donc tout naturellement qu’ils se tournent – nombreux – vers la solution Myral. Il en va de même pour les assistants à maîtrise d’ouvrage. Technicité, performance, esthétisme, plusieurs d’entre eux nous expliquent pourquoi ils choisissent de prescrire nos produits et le savoir-faire Myral auprès des maîtres d’ouvrages. Témoignages.
« Avoir un interlocuteur régional de confiance pour élaborer ensemble les projets, c’est très précieux ! »
Jacques Gefflot est co-gérant de l’agence Latitude, basée à Rennes. Ses architectes interviennent essentiellement dans des opérations de réhabilitation de grands ensembles.
Jacques Gefflot, co-gérant de l'agence Latitude
Comment la solution Myral est venue à vous ?
Jacques Gefflot : C’est une belle rencontre avec Ludovic Gaudin, le chargé d’affaires régional, qui date de 2015. Dans le cadre d’une opération de réhabilitation de cinquante logements à Rennes, nous avons pris le parti d’associer les panneaux d’ITE Myral au projet. Et le courant est très bien passé ! Pourtant pour ce type de produits, la concurrence est rude avec les majors, notamment indiens. En tant qu’architectes, nous regardons d’abord et avant tout l’aspect esthétique. Puis vient le rapport qualité-prix, puisque nous devons composer avec les budgets de chacun. Myral répond à tout cela. Personnellement, je suis un grand fan du métal, que ce soit l’aluminium ou l’acier. Il offre beaucoup de possibilités sur le plan architectural, avec notamment des jeux de lumière. Avec l’effet joint-debout, je retrouve cela, avec de beaux résultats. Les panneaux Myral donnent du rythme aux façades. De plus, quand on met du bardage métallique, les points singuliers comme les encadrements de baies ou les bavettes sont toujours des points faibles, rarement élégants. Avec ces produits, je trouve que les fenêtres de l’habillage de leurs bâtiments sont faites avec beaucoup de finesse. Et ça, cela m’intéresse beaucoup !
Au-delà du produit, pour quelle(s) raison(s) prescrivez-vous Myral ?
Jacques Gefflot : Le service ! Cela peut paraître anodin mais pas tant que cela. Avoir un produit qu’on ne commande pas en ligne, avoir un interlocuteur régional pour élaborer et réfléchir ensemble sur ses projets, c’est très précieux ! Grâce à cet accompagnement de proximité, Myral est capable de prendre un projet très en amont pour élaborer toutes les pistes qui nous permettent de faire aboutir un projet. Ce dialogue-là, croyez-moi, on ne l’a malheureusement pas avec tout le monde ! Avec d’autres, vous ne pouvez les appeler via le numéro vert d’une plateforme téléphonique à l’étranger sans aucun lien avec la fabrication du produit. Là, nous disposons de tous les conseils nécessaires, notamment réglementaires. En tant que prescripteur, on a besoin de cette confiance, on se rassure et puis on bâtit le projet ensemble. En réalité, c’est assez rare de bâtir un projet avec des fabricants.
Justement, à vos yeux quel mot définirait le mieux le fabricant ?
Jacques Gefflot : Concret ! Derrière les mots d’un commercial, je trouve réellement passionnant la philosophie de l’entreprise. Il y a une histoire familiale forte mise en musique chaque jour sur le terrain. Au-delà du produit, Myral a la volonté de s’améliorer en permanence et ça je trouve cela assez remarquable, parce que beaucoup d’entreprises se reposent sur leurs lauriers. Chez Myral, l’accent est mis sur la recherche et le développement, que ce soit sur le risque incendie comme sur l’aspect environnemental. C’est vraiment très intéressant.
« L’effet joint-debout est bluffant ! »
Patrice Aubert est gérant de CAO Architectures à Mellac dans le Sud Finistère. Créé en 1993, le cabinet est spécialisé dans les marchés publics de réhabilitation et intervient auprès des bailleurs sociaux.
Comment avez-vous connu Myral ?
Patrice Aubert : Tout a commencé il y a 6 ans lors d’une réhabilitation de logements sociaux à Quéven, dans le Morbihan. Cette opération pour une quarantaine d’habitations modifiait profondément l’aspect du bâtiment initial. Nous avons travaillé pour créer un bâtiment en attique avec des panneaux Myral blancs sur la façade puis une imitation zinc pour le dernier étage. Ça a tout de suite fait son petit effet ! Depuis, nous sommes convaincus et nous préconisons leur solution pour de la rénovation comme pour du neuf.
Qu’est-ce qui vous séduit dans ses produits ?
Patrice Aubert : Je dirai deux choses. La première, c’est l’esthétisme. Les panneaux Myral sont redoutablement efficaces en termes d’effet de rendu. Le revêtement de façade d’isolation thermique par l’extérieur (ITE) à effet joint-debout est bluffant ! Posé sur du logement social, ça lui redonne un sacré cachet avec un avantage économique notoire. On imagine très facilement le mettre sur façade de salle de concert, une salle de spectacle, des écoles, des collèges et sur du bâtiment neuf. La deuxième chose, c’est la performance du produit. Les panneaux sont fabriqués en Bourgogne avec du métal et du plastique recyclés, les temps de pose sont courts et ils peuvent être posés par tous les temps. Ils résistent aussi aux chocs et se change facilement. Bref, ce sont des qualités qui font la différence.
Le groupe Myral vous accompagne-t-il dans vos conceptions ?
Patrice Aubert : Totalement ! Être soutenu au quotidien par le chargé d’affaires local de Myral, Ludovic Gaudin, est très appréciable. Les échanges avec le bureau d’étude sont fluides et permettent de s’adapter à toutes les spécificités de nos projets architecturaux. Sachant tout cela, convaincre les maîtres d’ouvrage est ensuite assez facile !
« Un panneau remarquable aux avantages esthétiques et thermiques »
Bertrand Bouyer est co-gérant de l’agence Archipole, basée à Rennes, Quimper, Brest et Paris. Forte de sa trentaine de salariés, son activité est tournée à 80% en direction des marchés publics, pour des projets de réhabilitation énergétique.
Depuis quand prescrivez-vous la solution Myral ?
Bertrand Bouyer : Cela commence à dater ! Dans le cadre de plusieurs réhabilitations pour des bailleurs sociaux, j’ai pu travailler avec l’équipe Myral sur des conceptions-réalisations. L’un des projets-phares est la réhabilitation de 320 logements de la caserne de gendarmerie de Rennes, 12 000 mètres carrés totalement rhabillés en Myral. Désormais, dès que j’ai un sujet de réhabilitation c’est le produit vers lequel je me tourne quasi systématiquement. Je trouve qu’avec le panel de couleurs, de matières et d’aspects disponible, c’est un matériau qui répond parfaitement aux besoins. Comme c’est une solution simple, nous pouvons donner une nouvelle image du bâtiment, avec des formes très épurées. C’est idéal.
Quels avantages revêtent ces produits ?
Bertrand Bouyer : Le panneau en lui-même est remarquable. On a un produit qui est stable dans le temps avec une richesse de couleurs, de matérialité, de finitions. Il y a vraiment une capacité à faire évoluer le produit. C’est intéressant aussi parce que c’est un produit qui participe directement à l’aspect thermique du bâtiment grâce à son isolant, sans déformation sous l’effet de la chaleur. Par ailleurs, c’est un panneau qui peut venir se poser sans lame d’air, directement au contact de la façade. C’est important car cela permet notamment de s’abstenir des recoupements que l’on doit avoir vis-à-vis de la sécurité incendie et qui ont tendance à fusiller le dessin d’une façade. C’est un vrai avantage. Enfin, nous pouvons développer des grandes longueurs, contrairement à des lames en tôle. C’est très intéressant d’un point de vue esthétique sur un projet avec un peu de hauteur, avec une jolie façade bien plane et très peu de recoupements.
Pour vous, qu’est-ce qui fait la différence ?
Bertrand Bouyer : L’aspect technico-économique. Les panneaux Myral répondent à la fois à la problématique esthétique et thermique. C’est du « 2 en 1 » qui permet d’économiser une étape. Ils sont aussi faciles à poser, ce qui est un gain de temps pour l’entreprise. La ventilation n’est pas nécessaire, c’est donc très intéressant. Et puis pour le chantier, les panneaux arrivent déjà pré-dimensionnés. C’est une optimisation non négligeable. Il y a un vrai intérêt à travailler avec cette solution-là !
« La solution est durable, résistante et s’adapte aux singularités des bâtiments »
Benoît Chauvin est assistant à maîtrise d’ouvrage et gérant d’ABC Conseil à Rennes. Sa société intervient auprès des collectivités et des maîtres d’ouvrage sur les questions d’aménagement et d’accompagnement dans les travaux de réhabilitation.
Benoît Chauvin, assistant à maîtrise d'ouvrage et gérant d'ABC Conseil
Comment la solution Myral est-elle entrée dans votre champ d’action ?
Benoît Chauvin : Assez naturellement ! J’ai accompagné une copropriété il y a quelques années où les panneaux Myral étaient mis en œuvre. Je n’avais pas encore tous les éléments, j’avais le nom, la réponse technique sans aller plus loin. Au détour d’un salon à Paris, j’en ai donc profité pour passé sur leur stand. C’est comme ça que j’ai noué des contacts avec leur chargé d’affaires qui m’a lui-même mis en relation avec des architectes. Mon travail est notamment d’aider les copropriétés à mettre en œuvre leur rénovation énergétique sur la base de bons éléments techniques. Myral a parfaitement répondu à mes attentes.
Quels atouts avez-vous pu identifier ?
Benoît Chauvin : Le rendu. La dimension esthétique est vraiment intéressante avec les panneaux Myral. De plus, leur mise en œuvre par les entreprises est relativement simple par rapport à d’autres solutions. Enfin, la dimension économique n’est pas négligeable. Car la qualité du matériau est telle que cette solution en isolation thermique par l’extérieur est pérenne, durable, résistante et s’adapte aux singularités des bâtiments. Dès qu’une problématique technique est avancée dans la mise en œuvre de ce type d’isolation, Myral apporte une réponse adaptée. C’est le cas par exemple sur la question du risque incendie qui se pose quand on met en œuvre de l’ITE, les panneaux Myral permettent d’éviter la lame d’air et donc les effets cheminée. C’est déterminant.
Quelle est la marque de fabrique de Myral, selon vous ?
Benoît Chauvin : Je dirai sans hésitation l’innovation. Quand on parle avec les équipes, on réalise qu’il y a une recherche constante d’innovation dans la solution, ce qui n’est pas forcément évident pour une PME industrielle. Cet effort se traduit aussi bien dans la digitalisation des services que sur l’aspect environnemental. Et puis il y a une proximité humaine dans cette entreprise que j’aime beaucoup, où tout le monde est accessible. C’est une manière de fonctionner qui me plait !