Ludovic Gaudin, chargé d'affaires Myral : « Laisser libre cours à l’inspiration des architectes ! »
Finitions quasi-infinies, hautes performances thermiques, rapidité de mise en œuvre, équipe technique dévouée et à l’écoute… Autant d’arguments qui font de la solution d’ITE Myral un produit idéal pour les architectes. Leurs interlocuteurs privilégiés sont les chargés d’affaires, de véritables techniciens qui les accompagnent dans les projets et qui connaissent leurs contraintes et leurs attentes. Rencontre avec Ludovic Gaudin, chargé pour Myral du Grand-Ouest…
Quels sont les points forts de la solution Myral qui séduisent les architectes ?
Ludovic Gaudin : C’est surtout la liberté que le produit leur offre. Ils apprécient les qualités, la quantité et la variété de nos finitions. Car on peut aller très loin en termes de propositions. Avec nos panneaux, nous sommes, par exemple, capables de faire du contretypage, de l’impression, du panachage de couleurs, du joint debout, de la jonction invisible et aussi de proposer des longueurs jusqu’à 14 m. On est d’ailleurs les seuls à faire ça ! C’est clairement ce qui attire les architectes.
L’adaptabilité de la solution Myral est aussi un argument primordial…
Ludovic Gaudin : Evidemment ! L’aspect technique et innovant est également le gros avantage du panneau Myral. Nous pouvons nous adapter à ce que souhaite faire l’architecte en partant de son esquisse et d’un dessin façades horizontales, verticales, obliques ou arrondies.
Mais le principal, comme le disait ma collègue Valérie Lesage, c’est qu’en tant que chargés d’affaires, nous avons une vision de techniciens et sommes capables de rassurer le maître d’œuvre. Avec notre bureau d’étude, dès le début du projet, nous apportons les informations concernant les normes feu, les normes sismiques, le vent, mais aussi les contraintes d’un bord de mer sur la couleur du laquage… et bien sûr une note économique, car le budget reste un critère primordial.
Rapidité de pose = gain de temps et d’argent
Justement, aujourd’hui comment se place Myral en termes d’économies sur un projet ?
Ludovic Gaudin : Notre solution est très compétitive car elle offre une rapidité de pose qui fait gagner du temps, donc de l’argent aux maîtres d’œuvre. La capacité d’être mis en œuvre rapidement est d’ailleurs devenu un critère déterminant dans les projets, notamment de réhabilitation. Car les chantiers se font souvent en site occupé et il faut parvenir à limiter les nuisances pour les locataires.
Techniquement, pour la pose des panneaux Myral, il ne faut que 4 percements au m² en surface courante et 2 compagnons posent 8 m² par heure. Ce qui veut dire que le recouvrement d’un bâtiment se fait en quelques semaines et en toutes saisons. En plein hiver, par exemple, la mise en œuvre est 2 fois plus rapide que celle d’un enduit.
Pour ces projets de réhabilitation, comment les architectes perçoivent la solution Myral ?
Ludovic Gaudin : A force de participer à des projets, dont certains d’ampleur, je constate que la notoriété du produit et de l’entreprise grandit d’année en année auprès de ces professionnels. Un argument qui les marque particulièrement c’est notre réponse au gros problème actuellement dans la réhabilitation : la présence d’amiante. Chez Myral, nous avons le seul produit qui peut venir en recouvrement en sous-section 4 sur de l’amiante. Une matière, qui, il faut le rappeler est inerte, c’est-à-dire que tant que l’on n’y touche pas, elle ne bouge pas.
Traitement thermique des façades amiantées
Pour le maître d’ouvrage c’est une sacrée économie de ne pas avoir à désamianter, car, d’une part lorsque l’amiante est retirée d’un bâtiment, il en reste responsable, et d’autre part, aujourd’hui on n’a toujours pas de solution cohérente de retraitement.
Un côté caméléon très apprécié !
Autre marché important pour lequel Myral apparait comme une solution pérenne, ce sont les copropriétés…
Ludovic Gaudin : Les avantages sont exactement les mêmes que pour les autres maîtres d’ouvrage. C’est d’avoir un matériau tout en un. On ne se contente pas de redonner un coup de neuf à des bâtiments qui ont 25 ou 30 ans. Avec notre solution, l’immeuble va être isolé, embelli, ne va nécessiter que peu d’entretien, et ce, pour longtemps puisque la durée de vie des panneaux est estimée à plus de 50 ans. Une vraie opportunité pour les jeunes propriétaires qui savent que leur investissement est pérenne et finançable sur le long terme, mais aussi pour les habitants plus âgés qui vont immédiatement gagner en confort de vie et voir leur facture de chauffage baisser.
Et puis, argument très important, pour des propriétaires ou des bailleurs qui veulent bénéficier du crédit d’impôts sur la rénovation thermique et du taux de TVA à 5,5% sur les travaux d’isolation, la résistance thermique de l’immeuble doit être au minimum un R= 3,70. Pour atteindre cette valeur, la solution Myral présente aujourd’hui l’isolant le plus fin du marché mur fini, ce qui veut dire qu’on permet aux gens de conserver un maximum d’apport de lumière naturelle dans leur logement.
Parlons des logements neufs où, là aussi, la solution Myral parait idéale pour les architectes ?
Ludovic Gaudin : Oui c’est là où ils peuvent exploiter toutes les possibilités des panneaux Myral car on part d’une feuille blanche et on apporte des solutions. Si je prends l’exemple du Mouvement Perpétuel à Rennes, un immeuble singulier car il s’agit du plus grand bâtiment collectif labelisé Passivhaus du Grand-Ouest. L’architecte m’a mis directement l’esquisse sous les yeux qu’il avait déjà dessinée avec des panneaux Myral. Il m’a donné ses exigences en termes de résistance thermique, de feu, de gestion du point de condensation avec le pare-vapeur et de taille des panneaux qui devaient être toute hauteur. Et là on a pu travailler de manière très fine pour remplir le cahier des charges. La société de pose à même apporté des solutions nouvelles en proposant de faire des angles pliés sur les 4 pignons du bâtiment afin qu’il n’y ait aucun profil. Avec des panneaux de 12m de long c’est le seul en France ! Ce côté caméléon est très apprécié.
Les angles pliés sur 4 pignons, une première en France
C’est de bon augure pour les prochaines années !
Ludovic Gaudin : Sans trop prophétiser, je pense que Myral s’inscrit vraiment dans la tendance des matériaux d’aujourd’hui et surtout de demain car les architectes veulent des produits innovants, sécures, avec lesquels ils peuvent laisser libre cours à leurs inspirations…