Dolce Vita : Symbole du nouveau Rennes et du choix de l’esthétique Myral !
Il est l’emblème du renouvellement urbain de la rue de l’Alma à Rennes. Le Dolce Vita, immeuble sobre et raffiné, à l’architecture singulière, accueille depuis quelques semaines ses premiers habitants. Pour ce projet d’envergure, mené par le promoteur BATI-Armor et conçu par l’architecte Suzel Brout, la solution Myral a été choisie pour habiller les façades, mais pas seulement…
On ne voit que lui dès que l’on sort de la station de métro Jacques Cartier au sud de Rennes. Avec sa volumétrie généreuse laissant apparaitre une terrasse suspendue au milieu de la lumière et son contraste de couleurs et de matières, le Dolce Vita ne laisse pas indifférent.
Ce bâtiment collectif de 57 appartements, 3 maisons individuelles et près de 1 000 m² de bureaux (dont le siège social de BATI-Amor promoteur de l’opération) et commerces en rez-de-chaussée, a été achevé en mars et représente déjà le nouveau visage de la rue de l’Alma. Cette grande artère de la cité bretonne fait, en effet, l’objet d’un important projet de renouvellement urbain et de densification de l’habitat voulu par la Ville, qui inclut l’installation de commerces et de services de proximité.
Centralité, formes et couleurs pour un effet dynamique
L’implantation de la résidence à l’angle de 2 rues (Jacques Cartier et Jean-Baptiste Barré), ainsi que son ouverture sur une future place pensée comme un petit îlot de verdure, en a fait un atout et une source d’inspiration pour Suzel Brout qui a dessiné le projet. « C’est un bâtiment avec 2 angles qui utilise un assez long linéaire, décrit l’architecte à la tête de l’agence AASB. Selon le cahier des charges du maitre d’ouvrage BATI-Armor, de la Ville de Rennes et de l’aménageur public Territoires & Développement, étant dans une ZAC, il fallait parvenir à le raccorder au tissu de maisons de ville situées derrière, mais aussi à le fondre dans ce que deviendra ce quartier Sud-Gare. C’est pour cette raison qu’il a été fractionné avec un rez-de-chaussée commercial qui est complétement aligné à la rue, et ensuite une segmentation entre 2 corps de bâtiment. »
Suzel Brout, agence AASB
Et l’effet est réussi ! L’immeuble donne une dynamique au quartier de par sa centralité, ses formes et ses 2 couleurs. « Notre manière de travailler c’est de donner une identité au bâtiment en utilisant des matériaux durables que sont le béton et le métal », précise Suzel Brout. Pour le béton, l’architecte a opté pour un béton texturé, matricé et lasuré, blanc. Et pour le métal c’est donc la solution Myral qui l’a séduite. « Je voulais à la fois faire partiellement du bardage en façade entre les éléments de béton, revenir à l’intérieur des loggias, mais aussi faire tout l’habillage et la toiture des différents volumes et de 3 des maisons de ville. Donc on a cherché un matériau unique pour ces 2 applications, sachant que je ne voulais pas de la tôle ou du bac acier en toiture, qui ne soit pas celui des façades par exemple. Une sélection à faire dans un budget raisonnable pour un projet de logement collectif. Alors l’économiste, le cabinet Lemonnier, m’a proposé la solution Myral ».
La solution Myral choisie pour ses qualités esthétiques et sa facilité de mise en oeuvre
L’architecte a donc opté pour les panneaux M32, dans ce cas, pas pour leurs propriétés isolantes, mais pour leurs qualités esthétiques. L’effet lisse tendu et la teinte brun terre (réf. 8028) créent un contraste sobre et élégant avec le blanc mat du béton.
Et leur facilité de mise en œuvre a aussi fait la différence. Car 3 types de pose ont dû être utilisés pour donner corps aux lignes singulières du bâtiment :
- en vêture sur le même nu que le béton grâce à des réservations, pour la façade,
- en vêtage sur ossature bois pour les attiques,
- en sur-couverture, sur les attiques et les maisons, avec une intégration totale des chéneaux et descentes EP, ce qui n’avait jamais été fait auparavant.
Les panneaux Myral, dotés d’une grande adaptabilité, ont donc pu être spécialement façonnés par la société FERATTE. « Cette étape a donné lieu à des recherches de détails et de simplification mais tous les acteurs ont joué le jeu. On a eu des discussions et on est arrivé à un rendu final que je trouve très satisfaisant », se félicite Suzel Brout qui ne regrette pas son choix. « C'est un matériau qui a beaucoup de qualités : il se tient rigide puisqu’il a un contre-collage avec des éléments derrière le parement, il est très mince, il se pose en horizontal comme en vertical, il se travaille bien avec des raccords, on peut l’avoir dans toutes les couleurs et les teintes voulues, et puis, il a un bon rapport qualités/prix. »
Au point d’être convaincue ? « Oui, je réutiliserai Myral pour de prochains projets, en intégrant sa mise en œuvre dès la phase de création », conclu l’architecte Suzel Brout. De quoi ouvrir la voie à de nouveaux projets où Myral fera le bonheur des yeux.
En attendant, les nouveaux habitants du Dolce Vita se disent sous le charme de leur résidence.